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 avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.

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Jaden Orion McKenna

Jaden Orion McKenna


Messages : 13
Date d'inscription : 09/01/2010
Credits : crystalline
Patronus&Epouvantard : panthère & quelques gouttes de sang.
Âge&Profession : 29 & chef de la brigade d'intervention magique

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MessageSujet: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeDim 10 Jan - 2:52



avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. 2iszho7 avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. 2ivfp86
jaden orion mckenna
29 ans
chef de la brigade d'intervention magique

iron maiden ▬ run to the hills

____________________________

Spoiler:

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES :

DATE DE NAISSANCE + LIEU : Le six août 2032. A Aberdeen, en Écosse.
ORIGINES GÉOGRAPHIQUES : Écossais par son père, Anglais de Brighton par sa mère. Élevé dans les plus purs traditions qui conviennent à sa culture et à son rang.
ORIGINES SOCIALES : sang pur. repose sur une sacrée fortune familiale, mais craint qu'on ne la dilapide.
HISTOIRE FAMILIALE : Les McKenna n'ont pas toujours été la grande famille de sang-pur McKenna, car leur lignée se confond avec bien d'autres familles de sang-pur, dont les noms varient. Ce nom est apparu il y a un siècle et demi, pour entamer la lignée qui nous amène à aujourd'hui. La fortune conséquente de cette famille quant à elle provient de Lady Alana Murray, retrouvée morte quelque jours après son mariage avec Wallace McKenna en 1872, et la langue a été coupé à tous ceux qui ont raconté qu'elle n'avait aucun sang sorcier. C'est un clan qui tient farouchement à son honneur, allant jusqu'à se débarrasser de quiconque le bafoue. Les enfants sont donc très vite éduqués selon les principes du sang et apprennent à se battre pour ce qu'ils veulent, quoiqu'il en coute, et quoiqu'il fasse faire. Beaucoup de sang baigne l'histoire de la famille McKenna, car c'est son fondement même, qu'illustrent les armoiries « Le sang veut du sang ».
    -> PÈRE : Forbes McKenna, né en 1993, décédé en 2059. C'était un homme qu'on disait doué de sa baguette, jusqu'à ce qu'il s'en serve pour lancer des Impardonnables et défigurer à vie les enfants de moldus qu'il croisait. Mais personne dans la famille McKenna ne lui disait rien, car après tout ce serait bientôt à lui de dicter les règles, ses règles. Elevé dans le sens du sang et de l'honneur, il se rapprocha très vite des Mangemorts, et participa au putsch de 2011, alors à peine âgé de 18 ans, ou il fit se vider de son sang par le nez et les yeux la secrétaire du Département de la Justice Magique, et il est inutile de préciser qu'il ne voulu pas qu'elle le touche de son sang si impur. Ensuite nommé Responsable du Service des Usages Abusifs de la Magie, il enchaîna une lignée de maîtresses et de compagnes, jusqu'à ce que son père mourant lui rappelle qu'il lui faudrait une descendance. Il se choisit donc une femme, parmi celles que d'autres familles de sang-pur cherchaient à marier, et porta son choix sur la magnifique jeune Littleton, qu'il épousa en 2030, alors âgé de 37 ans, et elle de 25 ans. Elle lui donna un premier fils, Jaden, dont les penchants un peu violents ne le choquèrent pas, puis un autre, Lewis, dont il déplorait la mollesse et l'attachement trop fort à sa mère. Celle-ci mourut d'ailleurs trois ans à peine après sa naissance, dans des circonstances floues que personne n'est encore parvenu à élucider, même si la rumeur court qu'il l'ait accusée de trahison, et connaissant la famille, il est possible qu'il soit responsable de son trépas. Il éleva ensuite ses fils seul, dans une main de faire, ce qui faisait diablement souffrir Lewis mais stimulait la force de caractère de Jaden, à qui il apprit très vite à se servir d'une baguette. Il mourut vraisemblablement d'une longue et douloureuse maladie.
    -> MÈRE : Johanne McKenna née Littleton, née en 2007, décédée en 2038. C'était une jeune fleur que beaucoup de jeunes de bonne famille rêvaient de cueillir et d'exposer dans le plus magnifique vase de leur salon. Mais ce n'est pas le plus jeune qui parvint à cueillir cette fleur, et oubliant de l'arroser, laissa flétrir la beauté de ses pétales. Elle venait d'une famille un peu plus souple, un peu plus innocente, un peu plus idéaliste sous la pureté de son sang, et fut vite choquée par le tempérament rustre et violent de son mari et de sa nouvelle famille, qu'elle s'essaya à aimer pendant les premières années, alors qu'elle tentait de faire aimer sa propre innocence. Mais elle comprit vite qu'on ne l'avait pas choisie pour cela, sans savoir pourtant pourquoi. Ce n'était ni pour l'amour, ni vraiment pour l'argent. Pour le ventre peut-être. Elle accoucha de deux garçons, ce qui fit la fierté de son mari, en tout cas l'ainé qu'il prit sous son aile alors qu'il laissait le second, plus frêle et fragile sous le sein de sa mère, qui se jura à tout prix de le protéger. Mais malheureusement, elle mourut avant même qu'il puisse se souvenir clairement de son existence. On raconte que, lassée des frasques de son mari, elle alla trouver un autre homme, au sang bien moins pur que celui que prône la devise des McKenna, et en paya les frais de son propre sang souillé, de la main même de son mari. Elle fut retrouvée, un poignard dans le cœur, et on conclut, avec quelques billets dans le dos, à un suicide.
    -> FRÈRE(S) & SŒUR(S) : Lewis Hercule McKenna, né en 2035, décédé en 2052. On le disait plus sensible, plus doux et plus faible que Jaden, qui se plaisait parfois à le tourmenter étant petit jusqu'à ce qu'il aille se réfugier dans les bras de sa mère, ou dans le tronc d'un arbre quand elle eut trépassé. Ayant perdu la seule personne qui le comprenait et voulait le préserver de la violence de cette famille et de ce monde, il se referma de plus en plus, ceci accentuant la méprise de son père envers lui. Celui-ci se décida finalement qu'il n'existait pas, et n'était pas son fils, mais celui de sa femme, qu'elle avait peut-être fait d'un autre, et le laissa se débrouiller par lui-même s'il le voulait. Laissés presque à lui-même, il devint la honte de la famille enchainant toutes les bévues possibles, il passa sa scolarité à Poudlard dans la maison Poufsouffle, échoua à ses B.U.S.E, se lia d'amitié avec des nés-moldus, puis fut l'objet de rumeur sur une possible homosexualité. Jaden ne pouvait supporter ni comprendre ce qui le faisait agir de cette façon, et trahir son sang. Lewis disparu mystérieusement quelques temps après avoir révélé à sa famille son homosexualité. Devenant alors coupable de perversion, personne ne poursuivit sa famille, que la rumeur indiquait comme coupable.
    -> AUTRES : Jolene McKenna née Westwood, née en 2033, décédée en 2060. C'était une femme aussi magnifique de Johanne Littleton, qui avait ce même éclat de verre brisé au coin des yeux. Elle avait toujours regardé Jaden comme s'il était la cause du fracas de ce vase, qu'il soit synonyme d'un amour fou qui détruisait tout ce qu'il y avait en elle, ou qu'il soit la raison de la destruction de tous ses rêves. Lui n'avait que peu d'intérêt pour elle, et se dégoutait même que sa famille l'ait obligé à l'épouser pour avoir une descendance, et se refusait à lui laisser avoir un enfant, qui aurait peut-être permis de recoller ses yeux brisés. Ils furent mariés à peine deux ans, avant que l'on révèle que son sang n'était pas si pur qu'on le pensait, et qu'elle se rapprochait de son père né-moldu, raison pour laquelle Jaden voulu demander le divorce. Mais la procédure n'eut même pas le temps de s'entamer qu'on retrouver Jolene noyée dans sa baignoire, les yeux brisés à tout jamais.

ÉCOLE FRÉQUENTÉ : Poudlard. Dans la maison Serpentard. Cliché? Mouais. C'est celle des ambitieux et des tordus.
CURRICULUM VITAE :
2049 (17 ans) ▬ 2053 (21 ans) » après de brillantes notes aux Aspics en sortilèges, dcfm, et métamorphose, il est accepté parmi les rares pouvant suivre la formation de quatre années pour devenir Auror auprès du ministère.
2053 (21 ans) ▬ 2054 (22 ans) » Ayant fini sa formation, il est engagé en tant qu'Auror titulaire. Il se révèle vite très doué pour les duels, ainsi que pour attraper des criminels en fuite. Les Aurors plus expérimentés sont impressionnés par sa capacité à établir des plans, des stratégies et des manipulations, sans pour autant lui laisser toute la place qu'il voudrait prendre.
2054 (22 ans) ▬ 2060 (28 ans) » Lassé de devoir obéir sans cesse à ses supérieurs, et de n'être jamais suffisamment écouté, Il se présente pour être engagé au poste de Professeur de Duel à Poudlard. Il forme de nombreux sang-pur à l'art du combat, leur apprenant à être imprévisible, et à tromper l'adversaire. Il ne se prive pas d'apprendre les sortilèges les plus cruels ainsi que les impardonnables aux plus doués.
2060 (28 ans) ▬ 2061 (29 ans) » Également lassé de son travail de professeur, pas assez palpitant, il postule pour devenir Membre de la Brigade d'Intervention Magique, afin de participer plus directement même qu'un Auror à la chasse aux nés moldus ainsi que des criminels et renégats.
2061 (29 ans) ▬ ... » Un an à peine après y être entré, il devient le Chef de la Brigade d'Intervention Magique, après la sombre disparition de son précédent chef. Mais non, il n'a pas à être soupçonné, je vous l'assure. Quoiqu'il en soit, la Brigade fait maintenant appel à des méthodes plus efficaces, usant de manipulations, d'infiltrés, de tortures, et d'autres choses qu'il préfère que vous ne sachiez pas tout de suite.
BAGUETTE MAGIQUE : vingt-neuf centimètres. bois de laurier. artère aorte de dragon. légèrement tordue. très rapide. excellente pour les sortilèges. il brisa la baguette familiale que son père lui légua à sa mort, préférant garder sa propre baguette qu'il connait, plutôt qu'une vieillerie sans âge et détruite par le temps.






Dernière édition par Jaden Orion McKenna le Mar 19 Jan - 1:34, édité 13 fois
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Jaden Orion McKenna

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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeDim 10 Jan - 2:52


APPARENCE ET PROFONDEUR :

PHYSIQUEMENT, ... : Ce sont des yeux qui vous frappent, vous attrapent, vous enferment et ne vous laissent plus jamais repartir. Ces yeux sont rouges, injectés de rouges et brillants de reflets rouges. C'est un feu qui en brûle lentement mais surement l'iris bleu d'argent. Ce feu c'est celui qui brûle ses cheveux blonds de reflets dorés. Ce feu c'est celui qui se répand sous sa peau laiteuse et aussi douce que celle d'un bébé. Et il a tous le visage d'un enfant, les traits fins, les yeux toujours grand ouverts, curieux du monde, le sourire à qui l'ont donnerait le bon dieu sans concession, la moue souvent boudeuse et contrariée d'un enfant dont on a pas cédé au caprice. Mais c'est dans l'innocence même qui voudrait s'échapper de ses traits que se cache l'étrange feu qui fait vibrer ses yeux de rouge et à chaque reflet rouge qui en traverse la vue, et fait s'étirer et se tordre ses lèvres rouges et charnues en un sourire qui présage les pires folies, et les pires jets de rouge. Il y a sur ces lèvres comme des éclats de verre d'un rire qui ne se brise pas, mais danse quand le temps est à la fête et aux effusions de sang.
CARACTERE : Ils sont quelques uns à avoir tenté de comprendre le cas McKenna. Déjà, celui de cette famille rongée par les querelles de sang, qu'elle régla dans le sang, sans que cela ne la fasse plus trembler que ça. Et aucun n'a compris ce qui a fait du sang la devise et la vie de cette famille,e t on préféré partir en courant avant de faire partie du bain de sang. Mais Jaden, ou Orion, comme on l'appelle parfois, a en plus d'avoir hérité du coup de couteau facile, est une énigme à sa famille elle-même, car jamais personne chez les McKenna n'a été aussi dangereux et aussi sanglant que lui auparavant. C'est surement d'abord car l'on croit que dans son sourire enfantin il est aussi doux qu'un agneau, et qu'avec les bonnes manières dont il sait user, qu'il ne pourrait faire de mal à une mouche, ni jamais choquer la reine d'Angleterre. Et pourtant c'est sous ces airs de petit enfant attardé que se cache un monstre, un de ceux que s'inventent les enfants et qu'ils cachent sous leur lit, puis font croire que ce n'est pas eux qui l'ont caché là, car ils en ont peur. mais lui n'a pas peur du monstre qu'il a caché sous ses yeux. Il est ce monstre, dans ses yeux et ses manières d'adulte comme d'enfant. Car après tout il n'est qu'un faux adulte qui ne sait agir que comme un enfant, fut-ce t'il le plus sanglant de tous. Ce monstre il doit le nourrir, ce feu il doit l'alimenter, car c'est la seule chose qui le fait vivre quelque part sur ses lèvres. Il doit pour cela courir, poursuivre, chasser. Tel un félin qui attend sa proie, il connait l'art de la chasse et la patience et la lenteur qui l'accompagne. Il sait attendre le bon moment, le repousser sans cesse, et ce délecter de cet instant suspendu ou tout peut basculer, où il tient dans ses mains le futur de sa proie sur laquelle il peut refermer ses doigts ou entre lesquels il peut la laisser glisser. C'est un chasseur, c'est Orion le chasseur. C'est lui qui décide ici, et il a déjà décidé pour vous.
DON, PARTICULARITE : Il est à lui-seul une énigme, sa propre énigme, qu'on ne peut résoudre, car les pièces de ce puzzle sont manquantes.



BIOGRAPHIE :

(un minimum de 800 mots est demandé. Encore une fois, évitez de faire le personnage qui s'est fait violé 70 fois, à qui toutes les pires crasses lui sont arrivés. Il peut avoir vécut des atrocités mais tout dépendra de son BG. Nous jugerons de sa cohérence, bien entendu. Encore une chose... Si c'est pour faire du sex drug N rock'n'roll, passez votre chemin. Un perso, okay. Deux, d'accord. Dix, non merci. Nous pourrons vous fournir le lien de plusieurs forums que nous connaissons si vous voulez faire ce genre de choses.)



Dernière édition par Jaden Orion McKenna le Mar 19 Jan - 1:37, édité 17 fois
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Jaden Orion McKenna

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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeDim 10 Jan - 2:52

this is how it starts and how it ends.

La lame qui avait brillé une seconde dans un rayon des lampadaires de la rue éteint son éclat quand elle s'enfonça dans la chair et fit couler le sang qui scintille quand la lame se retire et brille à nouveau de l'éclat de la lumière du lampadaire, quoique teinté d'un rouge plus foncé que celui des fraises que cette chair avait dévorées à peine arrachées de l'arbre, des années plus tôt. L'air qui avait habité entre les os, les muscles et la peau s'échappe par le trou laissé par la lame et son éclat d'argent, et pour l'avaler vint se poser là une bouche de lèvres déjà rouges comme des cerises qu'elles avaient dévorées sur les oreilles des petites filles, des années plus tôt. Les cheveux blonds comme les blés dorés à quelques instants d'être fauchés, attachés tout proche de cette bouche, touchent et s'imprègnent des gouttes rouges comme les coquelicots avant qu'ils ne fanent, s'échappant du gouffre abyssal où s'était planté la lame argentée comme la lune. De la bouche s'échappe un son, un cri, un rire, une mélodie une chanson, sans qu'on arrive à ce décider pour l'un ou l'autre. Ce sont des sons, non l'idée des mots, qui s'en échappent et volent ensuite dans la pièce, résonnant dans les gouttes rouges, sur les reflets de la lame, sur les bruits de succion de la chair qu'on lacère à nouveau, sur les cheveux blonds et rouges qui brille dans l'éclat de la lame et de la lumière du lampadaire, sur la pupille des yeux dilatés, sur un sourcil déterminé et descendu sur la paupière, sur le coin d'un sourire où les éclats de rire brisées se recollent aussitôt pour se briser à nouveau. Ses yeux ne brillent pas d'un reflet de la lumière du lampadaire, non ses yeux brillent d'autre chose, alors qu'ils fixent ceux de celui dont les chairs pleurent des rivières rouges. Mais celui-là son souffle s'échappe, et il ne peut se poser la question, dans ses souvenirs morts, les yeux de celui qui avala son souffle de vie, ne seront brillants que de la lumière de la lune qui n'existait pas cette nuit-là, et des étoiles qui ne brillaient pas. Lui, il ne connait pas les étoiles, il ne connait que l'obscurité totale de la nuit, où rien ne doit briller que ses yeux et ceux des félins qui vont chasser leur proie.

this is how it started and how it ended.

un. mazzy star ▬ so tonight that i might see
Le soleil brille haut dans le ciel, et jette ses rayons à qui veut bien les attraper, ce que seuls les feuilles des arbres et les pétales de fleurs savent faire. C'est un secret que les enfants rêvent tous de voler, pour pouvoir offrir à leur mère un des rayons brillants de l'astre du jour pour qu'elle le cache dans leurs longs cheveux et qu'il se pose juste sur leur cœur. C'est pour ça que les enfants jouent dans les jardins quand le soleil les regarde, c'est pour espérer s'accrocher à l'un de ses rayons et le lui arracher pour en faire la plus belle chose au monde. Mais il ne savent pas que, s'ils y parviennent, le soleil laisse couler des gouttes d'or dans le ciel, qui n'osent pleurer et briller en même temps que quand l'astre a préféré se cacher.
Le petit garçon qui s'est assis dans l'herbe sait tout ça, il a arraché ce secret des pétales d'un coquelicot et maintenant passait ses journées à fixer ses yeux dans l'immensité du ciel pour y voir scintiller les larmes dorées du soleil, qu'il ne pouvait pas même admirer la nuit car sa mère venait le prendre dans ses bras plus doux que ses couvertures pour aller l'y emmitoufler. Pourtant il veut voir le soleil s'éteindre et ses larmes pleurer à nouveau, si discrètes dans l'obscurité. Il se dit qu'au lieu d'offrir un rayon de soleil à sa mère pour qu'elle le mette dans ses cheveux, il l'étranglerait avec, pour qu'elle le laisse regarder les brillances de la nuit comme il le souhaite. Alors que le soleil s'incline dans le ciel, il attrape un de ses rayons rougeoyant et avec toute la force qui tient dans ses mains d'enfant, il l'arrache au cœur de l'astre, qui va en pleurer la perte de l'autre coté du monde, rouge de ces gouttes qui iront se perdre dans la voûte céleste. Le petit garçon sourit de ce sourire sincère et absolu qu'on les enfants, alors que le rayon du soleil s'agite entre ses mains sans de sa brillance ni de sa chaleur les brûler. Sa mère il en est sûr serait brûlé par la beauté comme par la chaleur de cette mèche de cheveu du soleil, aussi dorée que celles de son fils.
Mais elle ne vient pas. Et dans le manoir brillent des rayons moins beaux que celui qu'il tient dans sa main. C'est dans l'une de ses pièces illuminée que dans la matinée quelqu'un est venu le voir. Quelqu'un qui voulait savoir, quelqu'un qui devait savoir. Son père le lui a présenté, a dit qu'il saurait tout, s'il touchait simplement sa main. Il avait un sourire fin et pur, et le petit garçon se dit qu'après tout donner sa main, ce n'était pas grand chose, comparé au savoir qui l'attendait. Il a pris sa main, a crié et est parti en courant. Le petit garçon vit que sa mère voulu s'enfuir aussi, et que des larmes au coin de ses yeux avaient brisé le verre des éclats de son rire. Quelque chose ne va pas, ont pensé ses yeux. Et quand son mari l'a regardée, elle a recollé immédiatement le verre de ses yeux. Quelque chose ne va pas, n'a pas pensé le petit garçon. Dans sa tête d'enfant, il sait que les choses vont comme elles vont et que rien n'a obligation d'être ou d'arriver. C'est pour ça qu'il ne s'étonne pas quand il entend le cri de sa mère se briser dans le ciel noir jusqu'à briser l'or fin des étoiles. C'est un sourire qui se reflète dans les éclats du ciel brisé en mille morceaux rouges par ce cri déchirant. Ce rire ne se brise pas ou sait rester briser, au coin de ses lèvres rouges comme les pétales de coquelicot qu'il a arraché pour en prendre la couleur.

deux. joy division ▬ shadowplay
Plus rien ne se passe ici, dans cette maison dans ce jardin où l'écorce des arbres s'effrite, et entre ces feuilles où le soleil n'ose plus aventurer ses rayons, de peur qu'ils soient happés par le vide, le seul néant qui habite cette forêt et qui ronge chaque feuille, chaque morceau d'écorce pour le faire choir au sol et chaque goutte de sève qui sèche et laisse mourir son arbre. L'été, grisé par un sentiment d'infinie puissance sur le monde entier, le soleil ose jeter ses rayons jusque dans ce lieu reculé et inhospitalier. Autrefois les deux enfants de ce manoir venaient jouer entre ces arbres, quand ils étaient encore fiers et altiers et qu'ils dressaient leurs feuilles vertes jusqu'à toucher la voûte céleste. C'est là que l'un, quand le temps fit grandir ses chairs et son âme au dedans, se perdit, se réfugia entre les branches des arbres et au creux des buissons épineux qui lui faisait moins de mal que le monde à coté de la forêt. L'autre se prit parfois l'idée de le poursuivre, mais il ne connaissait pas la forêt si bien que lui, et donc souvent se perdait entre les gigantesques troncs qui s'étiraient tout autour de lui, mais il n'avait pas peur, non jamais, et traversait alors la forêt en ligne droite comme une flèche qui transperce tout sur son passage, sans pourtant trop savoir où est la cible qu'elle vise.
Ce temps semblait révolu, maintenant que la poussière et le néant et l'odeur de la mort et de la pourriture s'était insinué entres les branches des arbres laissés à l'abandon toute l'année, quand personne ne venait souffler un peu d'air vivant sur leur écorce. Seul pendant l'été, un mince souffle de vie, plus ténu que la fumée d'un feu qui ne brûle plus venait se répandre entre quelques feuilles, sans parvenir vraiment à les colorer un peu plus vert que d'ordinaire. Celui qui la parcourt à cet instant où le soleil vient de renoncer à éclairer quelques ombres entre les branches, n'est pas celui qui insuffle un peu de vie à la forêt, c'est celui qui la transperce, la déchire pour aller où il veut, sans se soucier de la douceur et de la fragilité des feuilles que d'un seul regard et de l'éclat aussi doré et rougeoyant que celui du soleil dans ses cheveux, il brule. Les feuilles n'arrivent pas à savoir ni à voir ce qu'il cherche, et elles n'osent pas percer ce secret, car elles ne sont pas de ceux qui foncent tout droit vers quelque chose au risque de la détruire. Non, les feuilles attendent, se posent les unes sur les autres, se recouvrent les unes des autres, et se serrent entre elles pour attendre la fin. C'est ce que le petit garçon qui s'échappait du manoir faisait lui aussi, mais il était seul, il n'y avait pas d'autres enfants pour venir se serrer contre lui, et ainsi sécher ses larmes, car l'autre garçon, son aîné, il le voyait dans ses yeux depuis toujours, dans les éclats de rire sur ses lèvres, il voulait le voir pleurer de l'eau transparente et de l'eau rouge. Et c'est ce qu'il veut faire ce soir, et ce que les feuilles préfèreraient ne pas voir.
Il s'est caché dans les bras d'un buisson, mais le plus grand l'a senti, l'a vu, l'a trouvé. Il a gagné cette partie de cache-cache, mais le petit sent, voit et sait que cela ne signifie pas qu'ils vont sourire puis compter, se cacher et se trouver à nouveau, et cela entre eux n'a jamais été ainsi, il fut toujours quelque chose de brillant dans ses yeux qui ne se cachait pas, quelque chose qui brillait d'un éclat rouge. Et cette nuit, ce n'est plus seulement un éclat accidentel, c'est tous ses yeux qui sont rouges, comme ils ne l'ont jamais été auparavant. Ce rouge il pourrait presque le pleurer, mais ce qu'il veut c'est que le plus petit le pleure de sa main même, de ses yeux aussi tranchants qu'une épée qui le transpercent et fait couler les plus terribles larmes sur ses joues. Car le petit sait ce qui va arriver, quand le grand ne le sait pas encore, à cet instant où leurs yeux se croisent. Il sait que ce ne sont pas que des larmes qui couleront de ses yeux, de sa chair et de ses veines. Ce sera cette chose qu'il a salie, souillée de ses yeux, de ses mains, quand il s'est laissé tomber dans le pire des vices, celui de la perversion, celui que les prêtres condamnent. Mais cette chose qu'on lui a donné le petit l'a tellement peau contre peau violée, que le grand n'ose même pas l'effleurer, ne serait-ce qu'avoir un contact avec l'extrémité de ses poils.
Le petit ferme les yeux, et sanglote comme un enfant qui fait un caprice, et c'est la fin de cet instant suspendu avant la fin. Les yeux rougeoyants s'ouvrent plus encore et jettent toutes leurs larmes tranchantes sur ces paupières maintenant fermées, alors que le couteau tranchant perce la chair tendre au dessus de son cœur qui crache et vomi toute sa couleur rouge, jetant dans les cheveux d'or de celui qui l'a transpercé les éclats rougeoyants des feuilles mortes.

trois. dead man's bones ▬ in the room where you sleep
Ce sont des endroits ou on apprend à être triste et affligé, à pleurer des larmes caché dans les ombres derrière les portes. Ce sont de longs couloirs blancs, faux, terriblement faux qu'il faudrait faucher à grand coup de faux quand la Faucheuse approche. Elle viendra ce soir et ils le savent tous, ils se préparent à pleurer, ou a faire semblant de pleurer. Car celui qui va s'éteindre ce soir dans ce lit, dans cette immobilité, dans cette infirmité, ce n'est pas quelqu'un qu'on veut pleurer. Même son fils, son dernier fils en vie, le seul qui sut communiquer avec lui et reprendre le flambeau destiné à brûler le monde entier sur son passage, il ne va pas le pleurer, et il ne fera même pas semblant. Il sourit et les éclats de rire sur ses lèvres dansent à la lumière fausse des halogènes, jusqu'à, dans le blanc faire rougir ses lèvres.
Lui sait ce qui va se passer mieux que les autres, quand le souffle mort de sa vie s'échappera de son corps. Il l'avalera, l'aspirera comme un Détraqueur, et l'on croira qu'il s'agit là du doux baiser d'un fils à son père qui s'en va. Mais c'est le baiser qui détruit le père, car il n'y en aura pas d'autre après. C'est le coup de grâce, le dernier d'entre tous, la fin qui danse sur les lèvres du démon. La Faucheuse n'est pas invisible, enveloppée dans un long manteau noir, elle est bien là devant celui qui la croit sa sauveuse, souriant dans la lumière blanche d'un éclat rouge comme le feu qui brûle depuis longtemps, et les consume tout deux peu à peu. C'est le feu que le père a insufflé au fils, et c'est le retour de flammes qu'il lui a craché. Il n'y a même pas de raison, pas de pourquoi à se poser. Cela doit arriver ce soir, frapper ce soir, s'envoler dans le néant ce soir.
Le néon au dessus du lit, du visage mortifié du père grésille une seconde. C'est la fin. C'est la fin de cette longue et douloureuse agonie qu'il a versé chacune de ses tasses de thé, dans ce qu'il croyait être son bien. Un mince souffle s'échappe de sa bouche, mais cela seul la Faucheuse le voit et vient le faucher et l'aspirer en elle pour le rendre au néant.

quatre. the white stripes ▬ jolene
Sur la surface de l'eau dansent le vent et le souffle des vivants et des morts en de légères vagues, dernières traces, dernier sillage que les fantômes laissent derrière eux avant de s'évanouir dans l'au-delà. De ce lac émane l'odeur de la mort, de la fumée seul reste des fantômes disparus. Au fond de ce lac les rayons du soleil ne passent pas, n'éclairent pas, ne réchauffent pas, en laissant les profondeurs sombres et inconnues à tout jamais. Dans cette eau trouble pourraient se cacher les pires terreurs, les pires monstres marins, ou des tourbillons meurtrier entraînant les malheureux nageurs du clair de lune jusqu'au fond d'abysses insoupçonnées. Et pourtant rien ne le laisse penser dans l'acceuillante apparence de ces eaux tranquilles à peine scintillantes d'argent dans la lumière de la lune, apaisées et endormies comme le monde d'à coté qui retient sa respiration et son ardeur pour savourer l'instant de silence au milieu de la nuit ou une jeune femme, une nymphe peut-être une naïade, va avec douceur lenteur et légèreté faire glisser l'eau d'argent sur sa peau dorée.
Le rivage de ce lac est en marbre blanc, sa cascade est un arc doré se jetant depuis les hauteurs. Le lac se remplit lentement dans la nuit étoilée, et les rayons discrets de la lune font danser des étoiles d'argent sur les légers remous engendrés par la cascade. La peau de la femme est d'un blanc immaculé, et la lune en volerait bien les reflets d'or pour en faire des reflets d'argent. Mais cette peau soudain voit couler sur elle une mince et longue goutte d'un liquide proche de celui qui donne la mort, mais celui-là c'est celui de la vie, de la vie que donnent les femmes dans leur ventre. Cette goutte est essuyée, pour ne pas souiller plus longtemps la douceur de cette peau, qui s'apprête à se glisser dans l'eau, et à imbiber d'eau la cascade de cheveux d'or qui s'y dépose, ainsi que de gorger d'eau chaque pore de sa peau. L'eau est si chaude et douce contre sa peau laiteuse, et les rayons réfléchis de la lune si beaux sur ses yeux, qu'elle se laisse aller à s'apaiser dans ce bain de minuit, jusqu'à fermer les yeux et glisser un peu contre le marbre, endormie.
Quand ses yeux s'ouvrent à nouveau, elle ne voit rien, ou plutôt elle ne reconnaît rien, car tout est tordu et déformé comme dans un miroir de cirque, ou ce que l'on voit n'est pas la réalité à laquelle nos yeux sont habitués, mais n'en est qu'une sorte différente et tout aussi légitime pourtant, que simplement nous sommes moins habitués à voir. Elle reconnaît pourtant au travers de ces lignes qui dansent et se tordent à l'infini dans ce liquide qui l'enveloppe, les reflets dorés dans ces cheveux, et les éclats dansant sur ses lèvres brillantes du même rouge que celui qui s'échappe de son intimité, mais celui-ci elle le sait, elle le sent, n'est pas celui de la vie. Elle reconnaît à travers le doux chatouillement de l'eau sur sa peau, la force de ces doigts qui s'appuient et serrent son cou, jusqu'à l'en rendre rouge et le faire couler de rouge dans l'eau. Il y a presque de la douceur dans ce geste qui coupe lentement son souffle, pour le remplacer par les petites vagues du lac aux eaux troublées de rouge. Il y a presque de la douceur dans ces yeux qui fixent son visage qui sombre dans l'eau, qu'elle lui rend cette douceur qu'elle a toujours caché dans ses regards et qu'elle espérait le voir lui rendre un jour et ce jour est arrivé, fut-il malheureusement le dernier. Car elle sait ce qui se passe, ce qui va se passer, ce qui s'est déjà passé, et elle n'a pas besoin d'en savoir la cause, ni d'en imaginer une issue. Elle sourit simplement, et laisse se briser l'éclat de son sourire au coin de ses lèvres. La lune préfère fermer les yeux quand l'eau du lac abandonne ses reflets d'argents pour ceux rougeoyants du lever du soleil.

this is how it started and how it will end.

Personne ne saura ce qui s'est passé ici, tout le rouge qui a recouvert les murs sera lavé et toute trace en sera effacée, toute l'odeur de la mort qui a flotté ici sera éventée et remplacée par la douce et chaude odeur de l'encens, qui sait aussi chasser les âmes et les fantômes suspendus entre les deux mondes à cet endroit précis. C'est dommage, se dit l'homme au visage blond taché de rouge, car il aime le moment ou toute la pièce et rouge, avant que le devoir et les convenances ne lui rappelle qu'il faut tout nettoyer. Ce n'est pas drôle vraiment, car après plus personne ne saura ce qui s'est passé ici, l'œuvre qu'il y a achevé, et qui s'évanouit déjà sous l'eau qui l'avale dans ses flots. Ceux qui entreront ici bientôt ne sentiront que ce parfum absent, ce souffle évanescent disparu, cette pièce du puzzle qu'il manquera définitivement dans ce tableau qu'on leur ferait croire magnifique. Et si l'on creuse ensuite un peu, si l'on décolle le papier peint des murs et que l'on voit la trace foncé de ce qui a giclé ici, et qu'on croira résoudre l'énigme, il manquera toujours la pièce maîtresse, la cause, le passé de ce qui s'est passé là. Cette chose manque toujours, même quand on en regarde l'auteur, qui ne la cache pourtant pas dans les éclats de son sourire, c'est une pièce définitivement manquante. Ceux qui cherchent même à la retrouver ne parviennent pas à trouver une seule piste, à en définir les contours, car elle n'a tout simplement jamais existé et n'existera jamais, dans ces yeux rouges grands ouverts comme ceux d'un enfant qui regarde son château de sable se faire détruire par la marée. Il ferme les yeux et boit une gorgée de la tasse de thé qu'il tient dans ses mains. C'est dommage, il n'avait même pas eu le temps de finir ce délicieux thé rouge. Décidément de nos jours, les gens ne connaissent plus les bonnes manières.

this is the beginning and the end.

the beginning is the end is the beginning ▬ the smashing pumpkins


Dernière édition par Jaden Orion McKenna le Mar 19 Jan - 1:12, édité 1 fois
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Arès A. Oleivera

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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeDim 10 Jan - 2:59

Encore ? !?
Bon courage ! XD !
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Jaden Orion McKenna

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Patronus&Epouvantard : panthère & quelques gouttes de sang.
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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeMar 19 Jan - 1:35

et c'est la fin.
tremblez, mes agneaux. avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. 902557
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Marla Cassandra Grey

Marla Cassandra Grey


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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitimeMar 19 Jan - 21:14

Validé, encore un perso que j'adore ( ça ne m'étonne même plus XXD ) , bon jeu en tout cas Cool.
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MessageSujet: Re: avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.   avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé. Icon_minitime

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avant de mourir, vous prendrez bien une tasse de thé.
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